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Patrick STRIBY, tête de la liste « le centre droit : la vraie alternative », s’insurge contre les modalités d’utilisation des machines à voter dans la commune de Jean-Marie BOCKEL, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Justice.
La tête de liste aux régionales reproche à JMB le fait d’utiliser des machines à voter pour un scrutin de listes comportant pas moins de 51 noms de candidats en Alsace. Afin d’être conforme en taille à la machine à voter, le bulletin est scanné puis tout simplement réduit à environ 40% de sa taille d’origine, 20% pour les listes ayant un bulletin recto verso, ce qui rend le bulletin de vote absolument illisible pour l’électeur.
Il est donc impossible de lire le nom des candidats et leurs fonctions au moment de passer au vote. Pour Patrick STRIBY à Mulhouse, les 55000 électeurs « ne votent plus que pour des logos, du moins pour ceux qui sont encore visibles. La démocratie est bafouée ». À cela, la mairie de Mulhouse rétorque que les bulletins originaux sont visibles avant de passer dans l’isoloir.
Cet argument ne semble pas convaincre le candidat de centre droit qui condamne aussi le fait que les professions de foi ont été adressées aux électeurs et électrices de Mulhouse mais sans les bulletins de vote, cela signifiant qu’il y a inégalité flagrante de traitement entre les électeurs de Mulhouse et les autres électeurs alsaciens. Ces derniers ayant le temps chez eux de lire la profession de foi des candidats mais aussi, et surtout, de lire les 11 listes et leurs 561 candidats au Conseil Régional d’Alsace.
Jean-Marie BOCKEL a, pour sa part, bien compris que pour un scrutin de liste avec plus de 50 noms, la machine à voter montre ses limites. Pour sa propre réélection en 2008 avec l’UMP en tant que Maire de Mulhouse, le Président de « GAUCHE MODERNE», aujourd’hui allié à Nicolas SARKOZY, avait pris la décision de garder les machines à voter dans les placards et d’utiliser le bon vieux bulletin de vote. Le motif de l’époque, évoqué par l’équipe de JMB, était simple : « Impossible de rentrer les 55 noms des 7 listes en lice aux municipales ». Est-il aujourd’hui plus simple de rentrer 51 noms de 11 listes ? Certainement pas.
Au cours des prochaines heures, Patrick STRIBY, envisage de faire constater par huissier l’impossibilité pour l’électeur mulhousien de lire les bulletins de vote et de contacter le Ministère de l’Intérieur afin qu’il épaule la Mairie de Mulhouse dans la recherche d’une solution technique permettant un vote réellement transparent dès le 14 mars.
Patrick STRIBY, tête de la liste « le centre droit : la vraie alternative », s’insurge contre les modalités d’utilisation des machines à voter dans la commune de Jean-Marie BOCKEL, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Justice.
La tête de liste aux régionales reproche à JMB le fait d’utiliser des machines à voter pour un scrutin de listes comportant pas moins de 51 noms de candidats en Alsace. Afin d’être conforme en taille à la machine à voter, le bulletin est scanné puis tout simplement réduit à environ 40% de sa taille d’origine, 20% pour les listes ayant un bulletin recto verso, ce qui rend le bulletin de vote absolument illisible pour l’électeur.
Il est donc impossible de lire le nom des candidats et leurs fonctions au moment de passer au vote. Pour Patrick STRIBY à Mulhouse, les 55000 électeurs « ne votent plus que pour des logos, du moins pour ceux qui sont encore visibles. La démocratie est bafouée ». À cela, la mairie de Mulhouse rétorque que les bulletins originaux sont visibles avant de passer dans l’isoloir.
Cet argument ne semble pas convaincre le candidat de centre droit qui condamne aussi le fait que les professions de foi ont été adressées aux électeurs et électrices de Mulhouse mais sans les bulletins de vote, cela signifiant qu’il y a inégalité flagrante de traitement entre les électeurs de Mulhouse et les autres électeurs alsaciens. Ces derniers ayant le temps chez eux de lire la profession de foi des candidats mais aussi, et surtout, de lire les 11 listes et leurs 561 candidats au Conseil Régional d’Alsace.
Jean-Marie BOCKEL a, pour sa part, bien compris que pour un scrutin de liste avec plus de 50 noms, la machine à voter montre ses limites. Pour sa propre réélection en 2008 avec l’UMP en tant que Maire de Mulhouse, le Président de « GAUCHE MODERNE», aujourd’hui allié à Nicolas SARKOZY, avait pris la décision de garder les machines à voter dans les placards et d’utiliser le bon vieux bulletin de vote. Le motif de l’époque, évoqué par l’équipe de JMB, était simple : « Impossible de rentrer les 55 noms des 7 listes en lice aux municipales ». Est-il aujourd’hui plus simple de rentrer 51 noms de 11 listes ? Certainement pas.
Au cours des prochaines heures, Patrick STRIBY, envisage de faire constater par huissier l’impossibilité pour l’électeur mulhousien de lire les bulletins de vote et de contacter le Ministère de l’Intérieur afin qu’il épaule la Mairie de Mulhouse dans la recherche d’une solution technique permettant un vote réellement transparent dès le 14 mars.
